Debout au milieu de cette cité désolée, je contemple ce paysage désolant. Les bâtiments décrépits, les voitures abandonnées, la pénombre oppressante, tout n'est que ruines et solitude. Pourtant, je continue ma marche, déterminé à traverser ce monde agonisant. Chacun de mes pas soulève un nuage de poussière, symbole de cette civilisation qui s'effrite. Mais je refuse de me laisser abattre par cette vision d'apocalypse. Au fond de moi brûle encore une flamme d'espoir, une volonté de reconstruire et de renaître de ces cendres. Car c'est dans ces moments les plus sombres que s'exprime l'essence même de l'humanité : la résilience face à l'adversité.
Dernière traversée